Entre le « Tout ski » et « Ibiza à la montagne » ?
Que cherche le client en venant aux sports d’hiver ? Passer sa journée sur les pistes, se dépayser, se divertir et faire la fête… ? Entre le « Tout Ski » et « IBIZA à la montagne » d’autres concepts de développement, moins extrêmes, sont susceptibles de séduire durablement les clients.
Où est le centre où est la périphérie ?
Skier, parcourir le domaine sont considérés comme les motivations centrales de la clientèle. Pour combien de temps encore ? Les activités ludiques, de détente et culturelles, sur le domaine et dans la station, semblent prendre de plus en plus de place. Entrent-elles dans le processus de choix d’une station ? Peuvent-elles permettre d’attirer de nouveaux profils de clients ?
L’ubérisation de la commercialisation des séjours est en marche ?
Avec Internet, les possibilités de rapprochement entre particuliers sont démultipliées. Quels sont les acteurs intermédiaires qui vont devoir se remettre en cause ? Quelles sont les adaptations à prévoir, notamment pour la commercialisation des séjours ?
Performance et développement durables
Le client est-il sensible aux efforts faits par les stations de montagne pour prendre en compte l’environnement dans les stratégies de développement ? Cela peut-il, dans les années à venir, créer un avantage concurrentiel dans le choix d’une destination touristique ? Faut-il communiquer sur ces aspects ?
Concurrence nationale et internationale
Le coût des transports, notamment en avion, baisse. La mobilité fait de plus en plus partie du quotidien professionnel de la clientèle des stations de montagne. Le premier territoire concurrent, les Etats-Unis, sera à l’horizon 2020/2025 à 3 heures de la France avec les projets d’avions supersoniques !
Le tourisme d’été pour les stations de montagne, un leurre ou une réalité ?
La clientèle d’été a-t-elle le même profil que la clientèle d’hiver ? Le client est-il prêt à venir ou revenir en été ? Pour faire quoi ? Toutes les stations ont-elles des atouts pour proposer un tourisme d’été à la montagne ? Les acteurs économiques sont-ils prêts à relever le défi ?